Les coups 1-3-5 occupent trois komoku en tournant. Le point crucial de ce fuseki est le kosumi en 7, invention de Shusaku (meilleur joueur japonais au XIX^e siècle) ; c’est un coup un peu lent, mais extrèmement solide qui donnait une partie facile au noir avant l’introduction du komi. Suite à ce rééquilibrage, la théorie moderne privilégie un développement plus rapide des formes noires.

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